Trans­pa­rence dans le sport struc­turé

Tirer au sort les des­ti­na­taires des cadeaux parmi les col­la­bo­ra­teurs
Les cadeaux qui ne peuvent plus être ren­dus sont dis­tri­bués aux col­la­bo­ra­teurs par le biais d’un concours ou d’une tom­bola, indé­pen­dam­ment de la fonc­tion et du sta­tut. Cela per­met d’une part que ce ne soient pas tou­jours les mêmes per­sonnes qui reçoivent des cadeaux. Les col­la­bo­ra­teurs de l’ombre béné­fi­cient ainsi eux aussi de temps en temps d’une petite atten­tion. D’autre part, cette façon de faire per­met de rompre le lien entre le cadeau et la per­sonne qui l’a reçu à l’ori­gine, ce qui réduit le risque que cette per­sonne se sente obli­gée de chan­ger de com­por­te­ment suite à ce cadeau.

Offrir les cadeaux à des orga­ni­sa­tions d’uti­lité publique
Les cadeaux qui ne peuvent plus être ren­dus sont récol­tés et offerts à des orga­ni­sa­tions d’uti­lité publique. Ces der­nières peuvent les uti­li­ser comme prix dans le cadre de concours internes ou à titre de recon­nais­sance ou d’in­dem­ni­sa­tion pour des per­sonnes occu­pant une fonc­tion béné­vole.

Géné­rer des pro­duits en ven­dant les cadeaux
Les cadeaux qui ne peuvent pas être ren­dus sont mis aux enchères. Cela peut se pas­ser de dif­fé­rentes manières, par exemple à des prix sym­bo­liques au sein de l’or­ga­ni­sa­tion ou lors d’une vente publique au plus offrant. Les pro­duits ainsi géné­rés sont ver­sés soit à une orga­ni­sa­tion d’uti­lité publique, soit à un pro­jet externe de pro­mo­tion du sport.